🏠 Accueil / Semaine 2 : Aux origines de la crise
Bienvenue à celles et ceux qui nous rejoignent à partir aujourd'hui ! Vous êtes plus de 1500 personnes à suivre ce parcours, merci ! Nous faisons tout pour être à la hauteur de vos attentes, grâce à notre petite équipe bénévole.
La semaine dernière, nous avons embarqué dans cette exploration en abordant certaines des conséquences observables de la crise : montée des inégalités en France comme à l'international et revalorisation des métiers sur lesquels notre société repose. Nous avons eu l'occasion de nous reconnecter à nos émotions, tant dans les exercices proposés qu'en prenant conscience de leur rôle central dans la transition. Cette semaine nous continuons notre voyage entre résilience et transition en remontant aux causes de la pandémie.
La pandémie du coronavirus démontre que la pression humaine sur les écosystèmes augmente fortement le risque de voir se multiplier les épidémies. Au delà du réchauffement climatique qui est bien identifié, il y a ainsi 9 autres limites planétaires desquelles l'Homme ne peut s'affranchir sans mettre sa survie en jeu.
Le parallèle peut être fait entre les mêmes réactions trop tardives face à la pandémie et aux dérèglements climatiques. En modifiant notre perception des risques et notre rationalité, le fonctionnement de notre cerveau et les biais cognitifs limitent les changements de comportements et expliquent en partie l'inertie dans la réaction face au danger.
Bonne nouvelle, le collectif est une force de changement inouïe, comme le montrent les nombreuses mobilisations individuelles et collectives au cours de ce confinement. La préservation de biens communs comme notre santé ou la nature pourrait donc être organisée pour permettre d'articuler libertés individuelles et qualité de vie pour le plus grand nombre.
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Belle semaine à tous !
Perrine, pour l'équipe du Parcours Résilience et Transition